Brisant les rêves allemands et ukrainiens de remplacer le gaz naturel russe dans le principal gazoduc ukrainien par de l’hydrogène,

un article du New York Times a averti hier soir que l’hydrogène « pourrait, en fait, être pire pour le climat qu’on ne le pensait auparavant ». S’appuyant sur une étude publiée dans la revue Energy Science & Engineering par des chercheurs de Cornell et de Stanford, le Times a déclaré « qu’ils ont découvert que l’empreinte de gaz à effet de serre de l’hydrogène bleu était de plus de 20 % supérieure à celle de la combustion de gaz naturel ou de charbon pour se chauffer… un consensus émergent selon lequel une économie plus large de l’hydrogène qui repose sur le gaz naturel pourrait être dommageable pour le climat.