Il est proposé que les dépenses de santé soient budgétisées à 4,5% du PIB et à 7,2% pour l’éducation. À cet égard, le vice-ministre des Finances Roman Yermolychev a souligné la nécessité d’améliorer l’efficacité de l’utilisation des fonds non seulement dans la médecine, mais aussi dans l’éducation.