Mais la longue histoire basée à Londres commence: «Les gestionnaires de fonds réduisent leur exposition à la Russie et à l’Ukraine, craignant que des années de tensions ne dégénèrent finalement en une guerre pure et simple, entraînant la ruine économique de l’Ukraine et davantage de sanctions contre la Russie.» À propos de l’Ukraine, Reuters note: «Le volume des obligations locales détenues par les investisseurs de portefeuille étrangers est en baisse depuis fin mars.»