Les familles des victimes ont été harcelées en Iran, mais aussi au Canada, où vivent 57 des passagers. Hamed Esmaeilion, porte-parole de l’association des familles des victimes, basé à Toronto, a déclaré à l’AP «qu’une douzaine de parents à travers le Canada ont fait état de harcèlement, allant de messages haineux et d’appels téléphoniques menaçants à des voitures suspectes qui les suivaient ou se garaient devant leur domicile la nuit. »