La liste des entreprises chinoises comprenait notamment la société hongkongaise Finder Technology Ltd, qui a exporté 293 lots de pièces pour drones et appareils électroniques. Parmi les entreprises de la Fédération de Russie figurent Pobeda, une filiale d’Aeroflot, l’usine automobile de l’Oural, l’usine Proton et l’usine automobile de Briansk, pour un total de plus de 100 entités.
La liste comprend près de 60 sujets provenant de diverses juridictions (Azerbaïdjan, Belgique, Chine, Russie, Slovaquie, Turquie et Émirats arabes unis), qui permettent à la Fédération de Russie d’obtenir de l’étranger les technologies et les équipements nécessaires à son industrie militaire.
Des sanctions ont été introduites pour la première fois contre les fabricants et les fournisseurs de pâte de coton et de nitrocellulose, nécessaires à la fabrication de poudre à canon, de carburant pour fusée et d’autres explosifs.
Les États-Unis ont également reconnu que la Fédération de Russie avait utilisé des armes chimiques contre l’armée ukrainienne et imposé des sanctions aux entreprises qui participaient à leur production.
Dans le même temps, sous la pression de leurs alliés, les Émirats arabes unis ont interdit l’exportation et la réexportation de certains produits à double usage vers la Russie.