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Le G7 ne s’est toujours pas mis d’accord sur un mécanisme permettant d’utiliser les bénéfices des actifs russes pour aider l’Ukraine.

The G7 will support the EU's use of profits from frozen Russian assets but still refuses their confiscation.

The EU is not in a rush to provide Ukraine with the $50B loan secured by Russian assets, though Kyiv desperately needs it.

Lors du sommet du G7 dans les Pouilles, en Italie, du 13 au 15 juin, les dirigeants des pays membres espèrent se mettre d’accord sur l’utilisation des bénéfices des avoirs russes gelés en Occident pour fournir à l’Ukraine un soutien budgétaire et une aide à la reсonstruction.

En mai, les ministres des Finances du G7 ont fait état de progrès sur un accord, mais des sources diplomatiques ont indiqué que des «discussions techniques difficiles» étaient toujours en cours. Une source diplomatique d’un autre pays du G7 s’est dite optimiste quant à la possibilité de parvenir à un accord d’ici la semaine prochaine. Une source gouvernementale allemande a déclaré que Berlin était optimiste quant à l’accord, mais qu’il devrait encore être approuvé par l’UE, qui gèle la plus grande partie des avoirs russes.

Rappelons que la proposition américaine prévoit que les pays du G7 accorderont à l’Ukraine un prêt de 50 milliards de dollars, qui sera remboursé grâce aux bénéfices tirés des avoirs gelés de la Fédération de Russie.

Au lieu de cela, l’UE a proposé une proposition alternative, qui accorderait un prêt à l’Ukraine, en utilisant comme garantie son budget de 1,2 billion d’euros sur sept ans.

 

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