La visite du chancelier autrichien a envoyé un message important au président russe, à savoir que « cette guerre doit cesser », rapporte le Kronen Zeitung. Il n’y a pas eu de poignée de main, ni même de photos partagées, par crainte que les photos ne soient utilisées à des fins de propagande russe. Dans une déclaration faite après la rencontre, Nehammer lui-même l’a qualifiée de « très dure », « très ouverte » et « directe » – « pas une visite amicale », a-t-il souligné. Il s’agissait pour lui d’un « devoir ». Il voulait « ne négliger aucune piste » pour obtenir une cessation des hostilités, ou au moins des progrès humanitaires, pour la population civile qui souffre en Ukraine. Malgré toutes les différences qui existent entre les nations, il n’y a « pas d’alternative à la recherche d’un dialogue direct avec la Russie. »