Financé par un prêt à faible taux d’intérêt de 100 millions d’euros initialement accordé par la Pologne en 2016, Ukravtodor dépense 68 millions d’euros pour moderniser les approches routières de six points de contrôle ; le service des douanes dépense 25 millions d’euros pour reconstruire trois postes de contrôle ; et les gardes-frontières dépensent 7 millions d’euros pour améliorer les installations à sept points de contrôle.