Un milliard de dollars de ce montant est consacré à la gestion de la société pipelinière – en payant 11 000 employés et en assurant l’entretien. Sans contrat de transit à long terme après 2024, le réseau de pipelines ne desservira que 10 Gm3 d’importations et 20 Gm3 de production nationale. Pour survivre, a-t-il dit, l’entreprise devrait mettre hors service « plus de 50% » de la capacité actuelle.