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La manœuvre légale utilisée pour licencier le PDG de Naftogaz soulève des doutes sur l’engagement de l’Ukraine à protéger les entreprises publiques de l’ingérence des politiciens.

Telle était la crainte exprimée hier par une foule d’observateurs ukrainiens: le porte-parole du département d’État à Washington, les ambassadeurs du G7 à Kiev, le président de la Rada et la Chambre de commerce américaine en Ukraine. Pour renvoyer Andriy Kobolyev un an après le début de son mandat de 4 ans, le Cabinet des ministres a eu recours à la suspension du conseil de surveillance de Naftogaz pendant deux jours, puis à la substitution de Kobolyev à son ancien adjoint, Yuriy Vitrenko.

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