La guerre a affecté la perception de la valeur du logement sur les marchés primaire et secondaire, tant à l’achat qu’à la location. Des facteurs tels que la sécurité physique et les migrations massives sont devenus cruciaux.
De plus, les investisseurs qui achetaient des biens immobiliers pour les revendre ont disparu du marché. Aujourd’hui, personne n’investit dans une maison qui n’a pas encore été construite, même s’il y a deux ou trois ans, une telle volonté a considérablement stimulé le secteur de la construction dans le pays.
Les critères clés pour la sélection des appartements étaient le haut niveau de préparation du projet et la dynamique stable de la construction. Aujourd’hui, les acheteurs immobiliers ne sont pas des investisseurs, mais des migrants internes.
Sur le marché secondaire, les appartements sont achetés et loués, à la fois prêts à être occupés et fraîchement rénovés. Les acheteurs prêtent également attention aux commodités telles que le stationnement, les écoles et les jardins d’enfants, qui doivent être accessibles à pied. Dans le même temps, les logements doivent être situés aussi loin que possible des infrastructures critiques pouvant devenir la cible d’attaques.
Les vieux bâtiments de l’ère soviétique ne sont pas fiables, car ils ont tendance à s’effondrer sous les bombardements et les vieux sous-sols ne conviennent pas comme abris.