le «bail-in» de 595 millions de dollars de prêts qu’une société financière britannique a consentie à PrivatBank avant sa nationalisation en 2016, rapporte Reuters. Dans un communiqué, la Banque nationale d’Ukraine a déclaré que la décision de la banque centrale britannique renforçait l’argument de Kiev selon lequel la nationalisation avait été effectuée dans le cadre d’une procédure juridique fiable et était conforme aux normes internationales.